Présentation simple

- Titre : Eater
- Type : Seinen
- Genres : horreur, science-fiction, fantastique
- Nombre de tomes : 4 (série terminée)
- Auteur : Masatoshi Usune
- Éditeur : Glénat
Des entités extraterrestres prennent possession des corps d’humains innocents afin de se livrer une guerre impitoyable. Alors que la navette Columbia navigue dans l’espace, elle est soudain attaquée par l’une de ces mystérieuses entités et s’écrase sur Terre. Le sens graphique précis et détaillé de Usune fait merveille dans cette histoire d’aliens monstrueux qu’affrontent des militaires.
L’auteur se fait réellement plaisir sur des planches entières qui servent parfaitement l’ambiance glauque et sombre de son histoire. Très bien maîtrisé en 4 volumes, le scénario avance rapidement et nerveusement pour le plus grand bonheur d’une lecture addictive. Eater fut à l’origine prépublié dans le Shonen Jump de Shueisha. Eater ravira les amateurs du cinéma de Cronenberg, les fans d’Aliens et autres mordus de fantastique et de science-fiction.
Glénat
Une médium naïve et un extraterrestre gentil ?

Nous suivons l’aventure de deux adolescents que tout oppose.
D’un côté nous avons Aoko, descendante de la famille Shimizu, qui espère suivre les traces de ses parents en tant que médium.
De l’autre nous avons Benimaru, devenu mi humain mi extraterrestre après que sa mère se soit faite exorcisée tout en étant enceinte de lui.
Un jour, alors qu’Aoko venait de faire passer un fantôme de l’autre côté, un extraterrestre la prit en otage. C’est en voulant la sauver que les deux adolescents en viennent à se rencontrer.
En effet, l’assaillant n’est autre que le géniteur de Benimaru: un extraterrestre.
La chasse de Benimaru !
À la suite de sa rencontre avec Aoko, Benimaru en vient à dévorer son propre père.
Réalisant sa propre force, le jeune extraterrestre va se mettre en chasse des autres membres de sa propre espèce.
Ce à quoi il ne s’attendait pas, c’est que la nouvelle de son cannibalisme se soit répandue aussi rapidement.
Il va donc tout faire pour éradiquer sa propre espèce.


Avis du rédacteur

Eater est une agréable surprise que je compare à Parasite dont j’ai bien apprécié la ressemblance du pitch. Mais également ses différences.
Le manga nous met face à la même question que ce dernier, que ferions-nous si un prédateur de l’être humain se cachait parmi nous ?
J’ai bien aimé les détails des dessins qui nous montrent le mélange des parasites. Ces êtres qui, lorsqu’ils prennent leur véritable forme, sont une fusion entre un extraterrestre et un humain.
Certains visuels m’ont fait penser aux œuvres de Cronenberg, aussi écœurants que fascinants.
Alors si vous avez bien aimé La Mouche, vous allez adorer le design de ces êtres qui vous feront faire des cauchemars.
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Friand des jeux d’horreur de tout genre, c’est lorsque ceux-ci présentent un véritable challenge, tels que les Souls, qu’il est de mon devoir de Chevalier Onion de vous partager mes exploits !
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