Undead Girl Murder Farce : quand littérature et fantastique mènent l’enquête

Tsugaru Shin’uchi est une bête de foire. Il passe ses journées à se battre dans une arène face à une ribambelle de monstres et de brutes. Jusqu’au jour où une jeune femme, en habit de servante, et une cage à la main, vient à sa rencontre.

Le jeune homme fait alors la rencontre de celle qui deviendra sa future patronne : Aya Rindô, une créature immortelle condamnée à vivre sous la forme d’une tête décapitée, et contrainte de voyager dans une cage dorée. Elle est accompagnée de sa servante, Shizuku Hasei, dont la loyauté n’a d’égale que ses aptitudes au combat.

Aya propose alors un contrat entre elle et Tsugaru. Étant mi-démon, il ne reste plus beaucoup de temps à l’homme avant qu’il ne perde le contrôle de sa propre humanité. C’est donc avec ses propriétés d’être immortel qu’Aya lui donne un peu de sursis. En retour, Tsugaru doit l’aider à retrouver la partie inférieure de son corps, qui lui a été dépossédée par un mystérieux individu.

Commence alors un voyage à travers toute l’Europe, qui ne manquera pas de rencontres surprenantes.

« Ne jamais se fier au premier épisode », c’est une philosophie que je tends souvent à appliquer. Et c’est exactement ce qu’il faut à UGMF ! Avec son animation très propre et ses personnages iconiques, j’ai dévoré sans difficulté les 24 épisodes à leur sortie. Sa mise en scène très théâtrale et son univers magique ne manquent pas de nous captiver.

Il est, encore aujourd’hui, dans mon top 10 de mes animes favoris.

Je vous recommande vivement de lire aussi les mangas, qui vont venir compléter votre visionnage (petits changements scénaristiques, épisodes bonus, et pleins d’autres choses).